Si le trafic sur Internet augmente, l’usage du Web et des navigateurs décline au profit des applications Internet destinées aux smartphones et autres tablettes, plus simples d’utilisation pour les internautes et plus rentables pour les entreprises qui les lancent. Cette nouvelle conjecture annoncerait-elle le retour d’une économie « traditionnelle » aux consommateurs captifs ? « After a long trip, we may be coming home », conclut Michael Wolff.
The Web is dead. Long live the Internet. Who’s to blame : us by Chris Anderson, Who’s to blame : them by Michael Wolff, Wired, wired.com, August 2010